En route vers le volcan (1)
Comme je vous le disais vendredi dernier, nous sommes donc partis nous aérer les neurones et les doigts de pieds le temps d'un week-end prolongé. Mais où donc ? Vous avez la réponse dans le titre... Du côté du volcan pardi ! Ben voui, depuis qu'on est là (9 mois maintenant), on avait pas encore pris le temps d'aller observer la curiosité number One de l'île....par le haut.
Comme la route est longue (c'est à l'opposé de chez nous, bon, je sais, c'est pas 8h de bagnole non plus, mais bon, c'est pas la porte à côté disons), j'ai décidé de vous morceler tout ça en plusieurs post...histoire de faire durer un peu le plaisir... gniark, gniark, gniark !!
En avant, c'est parti mon kiki !!
Sur la route, samedi, première difficulté : Saint Leu ! Ceux qui habitent ici (et ceux qui sont passés par ici) le savent. Saint Leu, en plus d'être la capitale réunionnaise du surf (la fameuse "gauche" de saint Leu), est un haut lieu de l'embouteillage chronique... A moins d'y passer à 2h du mat' en semaine, on est presque assurés, le reste du temps, d'y rester coincé un p'tit moment (ça nous est même arrivés d'y scotcher 1h, voiture arrêtée, c'est dire!). Du coup, maintenant, on contourne le problème en passant par "les hauts". C'est une route de mi-hauteur, pas beaucoup plus rapide, certes, (ça tourne beaucoup) mais qui offre l'avantage de rouler et de faire profiter les cheveux d'un peu d'air frais :-)
Et puis, de temps à autres, au détour d'un virage, on découvre ça :
Les champs de canne à sucre vus d'en haut, dans un dégradé de vert assez sympa.
Bon, rassurez vous, je ne vous ai pas photographié toute la route (bien que ça mériterait), car déjà, y'en aurais pour 175387 posts, et puis le mieux, c'est encore de le voir par soi-même...
Donc, je saute directement aux hautes plaines (2h plus tard).
Pour vous rafraichir un peu la mémoire, c'est par ici :
Dans ce coin de la Réunion, à 1000 mètres d'altitude environ, on y rencontre un climat assez particulier, puisqu'il gèle parfois en hiver et il fait (forcément) beaucoup moins chaud en été que sur le reste de l'île, because l'altitude... (vous suivez, c'est bon ?)
Les espèces végétales et animales sont donc bien différentes.
On peut y voir de véritables champs d'arômes :
(Claire, voici une spéciale dédicace rien que pour touaaaaa ;-)
Le climat y est aussi plutôt incertain... On peut se retrouver d'un moment à l'autre dans un brouillard épais :
Heureusement qu'il y a un peu de genêts pour ensoleiller le tout...
Et puis on continue de monter... et là, on se retrouvenez cul à nez avec l'espèce animale particulière des hauts : la vache réunionnaise !
Comme vous pourrez vous en douter, elles ne sont pas arrivées là toutes seules...(je les imagine, bien, bravant les océans en file indienne et à la nage!). Ce sont bien des vaches "importées" mais finalement bien acclimatées, qui nous permettent à nous z'oreils gourmands, de continuer à manger des yaourts sous les tropiques (sinon, ce serait de l'or en barre, vu qu'il faudrait les faire venir par avion, les yaourts, hein pas les vaches)
Mais je m'égare...bien loin du volcan ! Bon, la suite dans les prochains post !
Comme la route est longue (c'est à l'opposé de chez nous, bon, je sais, c'est pas 8h de bagnole non plus, mais bon, c'est pas la porte à côté disons), j'ai décidé de vous morceler tout ça en plusieurs post...histoire de faire durer un peu le plaisir... gniark, gniark, gniark !!
En avant, c'est parti mon kiki !!
Sur la route, samedi, première difficulté : Saint Leu ! Ceux qui habitent ici (et ceux qui sont passés par ici) le savent. Saint Leu, en plus d'être la capitale réunionnaise du surf (la fameuse "gauche" de saint Leu), est un haut lieu de l'embouteillage chronique... A moins d'y passer à 2h du mat' en semaine, on est presque assurés, le reste du temps, d'y rester coincé un p'tit moment (ça nous est même arrivés d'y scotcher 1h, voiture arrêtée, c'est dire!). Du coup, maintenant, on contourne le problème en passant par "les hauts". C'est une route de mi-hauteur, pas beaucoup plus rapide, certes, (ça tourne beaucoup) mais qui offre l'avantage de rouler et de faire profiter les cheveux d'un peu d'air frais :-)
Et puis, de temps à autres, au détour d'un virage, on découvre ça :
Les champs de canne à sucre vus d'en haut, dans un dégradé de vert assez sympa.
Bon, rassurez vous, je ne vous ai pas photographié toute la route (bien que ça mériterait), car déjà, y'en aurais pour 175387 posts, et puis le mieux, c'est encore de le voir par soi-même...
Donc, je saute directement aux hautes plaines (2h plus tard).
Pour vous rafraichir un peu la mémoire, c'est par ici :
Dans ce coin de la Réunion, à 1000 mètres d'altitude environ, on y rencontre un climat assez particulier, puisqu'il gèle parfois en hiver et il fait (forcément) beaucoup moins chaud en été que sur le reste de l'île, because l'altitude... (vous suivez, c'est bon ?)
Les espèces végétales et animales sont donc bien différentes.
On peut y voir de véritables champs d'arômes :
(Claire, voici une spéciale dédicace rien que pour touaaaaa ;-)
Le climat y est aussi plutôt incertain... On peut se retrouver d'un moment à l'autre dans un brouillard épais :
Heureusement qu'il y a un peu de genêts pour ensoleiller le tout...
Et puis on continue de monter... et là, on se retrouve
Comme vous pourrez vous en douter, elles ne sont pas arrivées là toutes seules...(je les imagine, bien, bravant les océans en file indienne et à la nage!). Ce sont bien des vaches "importées" mais finalement bien acclimatées, qui nous permettent à nous z'oreils gourmands, de continuer à manger des yaourts sous les tropiques (sinon, ce serait de l'or en barre, vu qu'il faudrait les faire venir par avion, les yaourts, hein pas les vaches)
Mais je m'égare...bien loin du volcan ! Bon, la suite dans les prochains post !